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Rencontre avec Nicolas Réserviste au CHU de Nîmes

Mis à jour le 14.08.2024 - Publié le

À l’occasion de la signature de la Convention entre le CHU de Nîmes et la Garde nationale, ce jeudi 29 février 2024, rencontre avec Nicolas, agent de sûreté au CHU de Nîmes et réserviste pour la Gendarmerie nationale. Un témoignage qui nous en dit un peu plus sur les motivations de ces femmes et hommes qui s’engagent.

Nicolas, agent hospitalier au CHU de Nîmes et réserviste à la Gendarmerie Nationale.

Pouvez-vous vous présenter ?

Je suis Nicolas, agent de sûreté au CHU de Nîmes, et j’ai 38 ans. J’ai intégré le Service de Sécurité des Biens et des Personnes (SSBP) en juin 2023. Je suis entré au CHU de Nîmes en 2019 comme brancardier et, auparavant, je travaillais comme ambulancier. Cela fait trois ans que je suis réserviste.

Pourquoi êtes-vous devenu réserviste ?

Avant tout, pour rendre service et aider la population.
D’un point de vue technique, nous sommes déployés sur tout le département. La réserve fonctionne avec un système de planning dans lequel sont référencées nos disponibilités.  Occasionnellement, si un très grave événement se produit, nous pouvons recevoir par mail un message de dernière minute, mais cela reste (heureusement) rarissime.

Qu’est-ce que cela vous apporte ?

Cela me permet de voir le travail « de l’autre côté », c'est-à-dire à travers les yeux du gendarme. Cela m’apporte un plus quand je suis au SSBP et, inversement, mon travail d’agent de sûreté m’apporte une certaine maturité pour la réserve.
C’est aussi une réelle fierté.